Un comptoir alimentaire sculpté dans du cerisier massif trône dans une chaîne de supermarchés santé.
Cru, biologique et végétalien, ce comptoir Crudessence propose une alimentation vivante qui ne nécessite aucune cuisson. Tous les équipements, dosserets, comptoirs et mobiliers intégrés sont construits en acier inoxydable pour en maximiser la longévité mais aussi pour dégager une impression de salubrité et de fraîcheur. Ils constituent le cœur de ce qui est présenté comme une machine à extraire l’essence vital : une nourriture de qualité.
Ce cœur est enveloppé d’une coque autoportante dont le galbe inusité intrigue. Construite d’une série de collages de cerisier massif découpés numériquement, elle évoque la pelure d’un fruit ou encore la coquille d’une noix. Selon le point de vue dont on l’observe, elle se ferme ou s’ouvre pour tantôt cacher la plonge, tantôt inviter le promeneur à s’abreuver d’un ravitaillement exquis.
Le deuxième restaurant Crudessence s’installe au 2157, rue Mackay à Montréal.
L’espace est structuré en trois parties : épicerie, bistro et salle à manger. Un long comptoir en béton de verre recyclé lie la section bistro à celle de l’épicerie. La rusticité des planchers de mélèze brut, du mobilier en épinette recyclée, des briques et des pierres existantes contraste les surfaces lisses des pliages d’acier inox et des ardoises en verre rétro peint. Des bouteilles de Kombucha rétro-éclairées soulignent l’ensemble. Les lieux sont entièrement éclairés à la DEL, une première au Canada. Les boîtes lumineuses sont signées Philippe Allard et la mosaïque, atelier Nayan. Pour en savoir plus, visitez crudessence.com.
Les ateliers L. McComber font pignon sur rue au 5179, rue Saint-Denis à Montréal.
Les quatre postes de travail occupent deux longues tables en érable massif récupéré amplifiant la profondeur de l’étroit local (11’ x 50’). Un comptoir d’accueil en cerisier ferme l’espace de travail côté vitrine. Une boîte en gypse et planches récupérées logeant la salle de conférence et la dînette ferme la perspective vers la ruelle. Sur la surface polie de la dalle de béton se reflète l’éclairage chaleureux des plafonniers récupérés.
Réaménagement d’un bar à jus sur la rue Rachel en annexant un petit garage.
Ce commerce de moins de quatre cent pieds carrés s’articule autour d’un grand meuble en chêne et lambris de moulures récupérées séparant la cuisine du bar. Un plafond surbaissé badigeonné de lait de chaux et pigments naturels souligne la zone service. L’enduit couleur terre brûlée se poursuit d’un mur au plafond de la salle à manger projetant le regard des clients vers la rue Rachel. Pour en savoir plus sur le commerce, visitez Crudessence.
Un dojo d’aïkido entièrement démontable prend forme dans un loft industriel du quartier Mile-End à Montréal.
Afin de maximiser l’espace de pratique, des vestiaires compacts et leur petite w-c sont construits à l’entrée du local. Perchés à demi-niveau au dessus du plancher existant, ces espaces libèrent un rangement à tatami dissimulé et accessible depuis l’entrée. L’accès au vestiaire est voilé par une grande toile translucide servant de support pour des projections vidéo occasionnelles. L’ensemble des aménagements est construit en bois et est entièrement démontable pour faciliter un éventuel déménagement du dojo. Pour en savoir plus, visitez Shoshin aikido.