Categorie du projet : Unifamiliale

Double foyer

Rénovation intérieure complète d’une résidence unifamiliale à Cartierville 

Construite par un promoteur il y a plus de vingt ans, cette résidence unifamiliale ne convenait plus aux besoins de la famille qui l’habitait depuis la naissance de leurs enfants. La cuisine exiguë séparée de l’ancien boudoir et du salon profitait peu de la lumière naturelle disponible sur le site. 

En transformant le boudoir en grande salle à manger et en l’ouvrant sur la cuisine, l’intérieur de la maison a pris une toute autre allure. Plusieurs composantes d’origine dont l’escalier et les planchers ont été restaurées. L’ajout de mobilier intégré dont le bureau et sa bibliothèque à l’étage et le vaisselier au rez-de-chaussée libèrent l’espace. La porte patio a été remplacée par une fenêtre haute pour prolonger la cuisine jusqu’aux murs extérieurs et offrir une double vue sur la cour et sur le nouveau salon. L’heureuse famille y voit maintenant plus clair avec ces deux belles ouvertures baptisées le « double foyer » !

Phénix des Mille-Îles

Un bungalow des années 60 repensé après un incendie à la Ferme-Sainte-Thérèse de Laval

La scène est désolante mais pleine d’espoir. Accompagnée de son architecte, une jeune famille visite son bungalow dévasté par le feu. L’objectif est de le reconstruire… en mieux ! L’empreinte au sol de la résidence existante est conservée afin de minimiser l’impact environnemental du projet sur ce site pittoresque aux abords de la rivière des Mille-Îles. Inspiré des anciens chalets de bois du voisinage, le volume simple à deux pentes est ponctué d’une lucarne traversante logeant la chambre principale. Les aires de vie au rez-de-chaussée sont d’autant plus vastes qu’elles profitent d’un toit cathédrale. La maçonnerie de pierre grise avec sa grande toiture de tôle donne un aspect intemporel à l’ensemble qui contraste avec les couleurs changeantes du quartier luxuriant. Au reflet du cycle des saisons, le Phénix des Mille-Îles renaît de ses cendres !

Bonnes Grâces

Une maison familiale restaurée et agrandie dans NDG!

Comment agrandir et moderniser une charmante résidence des années 1950 sans la dénaturer ? Voici le défi lancé par cette jeune famille pour la transformation de leur nouvelle maison. Situé à deux pas de la promenade Monkland dans le joli quartier Notre-Dame-de-Grâce, l’immeuble ne payait pas de mine avec sa petite cuisine sombre, son entrée étriquée et ses intérieurs démodés. En ajoutant une nouvelle aile pour la salle à manger et la chambre des maîtres au sud du terrain, la maison profite de vues beaucoup plus généreuses sur la grande cour. De la cuisine au petit bureau en passant par les penderies et les vanités, l’ensemble du mobilier intégré est fini en chêne blanc comme les nouvelles fenêtres avec leurs profonds cadrages.
À l’extérieur, le bardage de cèdre teint bleu acier contraste avec la brique d’argile rouge typiquement montréalaise. Le toit à double-pente reprend l’angle de la fausse mansarde existante. L’ensemble est harmonieux, chaleureux et accueillant. Décidément, la jeune famille est dans les bonnes grâces de cette charmante maison d’un autre siècle !

Maison-Jardin

Une maison d’après-guerre s’ouvre sur la Cité-Jardin !

Comment vivre en ville sans compromettre des espaces extérieurs de qualité ? Située au coeur de la Cité-Jardin du Tricentenaire, la petite maison en série type MC1 relève le défi ! Repensée de l’intérieur, elle est dorénavant adaptée aux besoins d’une jeune famille. La transformation stratégique de sa lucarne arrière permet d’augmenter la surface habitable à l’étage tout en conservant son empreinte au sol originale. Les espaces de vie compacts et fonctionnels du rez-de-chaussée sont organisés autour d’une circulation centrale et offrent de nombreuses percées visuelles vers l’extérieur. La palette des finitions intérieures douce et homogène contraste avec la végétation luxuriante du site.

La qualité de l’intervention tient à sa simplicité. Assurant une continuité du contexte historique de ce quartier d’après-guerre, le maintien des caractéristiques d’origine de la petite maison préserve son charme. Les nouvelles ouvertures très généreuses à l’arrière transforment la résidence en véritable dispositif d’observation et d’interaction avec le jardin. Cette approche valorise les idéaux ayant fondé cet aménagement urbain de faible densité servant encore de modèle pour repenser la ville… en temps de pandémie !

Chalet-Chalet

Une famille se construit un nouveau chalet intergénérationnel au dessus de sa cabane ancestrale du Mont-Tremblant datant des années 1940.

Quand tout le monde montait dans le Nord, la famille vivait à l’étroit dans ce modeste chalet autoconstruit il y a près de 60 ans sur un très beau terrain au bord du lac. Pour préserver le patrimoine familial mais aussi pour limiter l’empreinte du bâtiment sur le site, les architectes ont proposé d’appuyer l’agrandissement sur une nouvelle charpente de poutre-poteaux autour de la structure d’origine. L’ancienne cabane restaurée loge une portion de la famille dans cette nouvelle résidence intergénérationnelle qui comprend désormais un deuxième chalet à l’étage avec suite en mezzanine et un grand sous-sol partagé.

La volumétrie classique à deux versants est articulée par l’aménagement de grandes lucarnes et d’une terrasse extérieure à l’étage afin de profiter au maximum des vues panoramiques vers le boisée d’un côté et le lac de l’autre. Les très grandes fenêtres inondent de lumière naturelle les intérieurs chaleureux parés de pin rouge et de sapin Douglas. Les murs épais offrent une supère isolation dont la portion basse est finie en pierre calcaire et le haut en bardeaux de cèdre. Le volume compose une architecture presque monumentale, adouci par l’utilisation de matériaux naturels en harmonie avec la végétation. La famille est maintenant prête à reprendre ses traditionnelles fêtes pour de nombreuses générations à venir !

Jade’s

Une maison unifamiliale de Upper Westmount est restaurée pour mieux l’ouvrir sur le jardin et sa piscine.

Construite en 1910, cette maison sur la colline s’était vue greffée d’un agrandissement en 1928, d’une piscine de béton dans les années 1970 ainsi que de quelques rénovations intérieures plus ou moins réussies au fil des ans. L’objectif du projet étant de conserver et mettre en valeur le caractère d’origine de style victorien, toutes les interventions ont été faites dans le respect de l’architecture de l’époque. Des ouvertures stratégiques, une nouvelle terrasse et la reconfiguration de la piscine ont amélioré la fluidité de la circulation à l’arrière de la maison.

En rez-de-jardin, une ancienne salle de lavage sombre laisse maintenant place à une belle grande salle familiale lumineuse. La différence de niveaux du terrain permet un accès direct au jardin anglais. En optimisant les ouvertures, en modifiant la position des service et de la mécanique, les architectes ont créé de nouveaux espaces de vie lumineux tout en mettant en valeur ce bel exemple d’architecture victorienne du Upper Westmount.

À Flanc !

Une maison canadienne des Laurentides se métamorphose de l’intérieur.

Perchée sur une falaise boisée, cette maison canadienne en pierre des champs construite au début des années ’70 souffrait d’une vue obstruée par sa grande terrasse en bois peint. En repensant les intérieurs, les architectes ont proposé de relocaliser la galerie sur le côté est et d’agrandir la fenestration jusqu’au plancher pour révéler la superbe vue panoramique en plongée.

La cuisine est maintenant ouverte sur le séjour et l’escalier allégé pour mieux profiter de la lumière naturelle abondante sur le site. Une grande bibliothèque en acier ajourée marque la transition entre le séjour et la chambre des maîtres. Cette nouvelle composition permet d’apprécier le lac et sa falaise d’une variété de points de vue. De l’intérieur, on y retrouve la sensation forte d’un site à flanc de montagne !

Grand Rock

Un chalet de bois des années 80 se métamorphose en une grande maison de campagne ouverte sur le lac.

Autoconstruit dans les années 80, ce chalet de bois des Cantons de l’Est présentait un bien étrange volume avec sa porte d’entrée en coin, ses pentes de toit asymétriques, ses puits de lumière en pente et ses fenêtres irrégulières.

En transformant les puits de lumière en lucarne et en prolongeant l’aile Ouest vers le lac, les architectes ont complètement métamorphosé la volumétrie. Les fenêtres du rez-de-chaussée ont été agrandies pour s’ouvrir sur la vue spectaculaire. L’ancien bardage de planche a été remplacé par un clin de cèdre naturel sur le corps principal et un revêtement de tôle vertical sur l’aile transversale. Les ouvertures aux lucarnes et autour de l’entrée sont découpées par un revêtement de baguette de bois brûlé. Coup de force sur le lac, c’est un Grand Rock!

Repaire Durocher

Le sous-sol d’une maison centenaire d’Outremont s’équipe pour l’aventure!

Ce sous-sol sombre et humide d’une résidence unifamiliale d’Outremont manquait d’amour. En remplaçant la porte de garage par deux grandes portes battantes vitrées, l’espace est devenu lumineux et accueillant. Un établi, des vélos et du rangement sous l’escalier forment une aire ouverte spatieuse et dynamique. Dans la seconde partie du sous-sol, un bureau intégré en chêne massif met en valeur les anciennes fondations en moellon tandis qu’un sauna en tileul promet une détente bien méritée! Voilà cette maison maintenant équipée pour la grande aventure!

Transition

Accès à la cour complètement repensé pour cette demeure à Westmount

Avec une grande terrasse dominant la cour arrière, cette maison jumelée construite dans les années 1920 offrait peu de contact avec la végétation en plus de souffrir d’un accès exigu et sombre au sous-sol.

En construisant une grande terrasse en gradin, la cuisine s’ouvre complètement sur la cour. Adieu garde-corps! Devant la nouvelle estrade de bois teint, un patio en pierre St-Marc entouré de végétation accueille les repas d’été et les projections de cinéma en plein-air. Le haut de l’estrade loge le BBQ tandis que l’espace en dessous sert de rangement extérieur pour les outils de jardin et les bicyclettes. Sur le côté, une longue rampe facilite le transport des vélos. Le double accès sous l’estrade procure une belle lumière indirecte à l’intérieur.

Au sous-sol, la réorganisation de la salle mécanique permet de loger un petit bureau avec vue sur le jardin, une salle de lavage et des grands murs de rangement. L’ensemble lie harmonieusement les deux étages au jardin opérant une douce transition entre intérieur et extérieur, entre cette ancienne résidence et ses nouveaux jardins.